Contraception : encore (et toujours) une affaire de femmes ?

Annabelle Duaut

Depuis quelques années, de nouvelles tendances émergent en matière de contraception. La pilule ne convainc plus les femmes autant qu’avant et des méthodes contraceptives à destination des hommes ont fait leur apparition. En quoi consistent ces dernières ? Sont-elles aussi efficaces que les méthodes contraceptives conçues pour les femmes ? Ces dispositifs récents sont-ils en train de renverser la vapeur en termes de charge mentale ? Autant de questions auxquelles ce nouveau dossier du CALepin va tenter d’amener des réponses.

D’autres contraceptifs masculins trop peu connus

Chiffres à l’appui, force est de constater que la contraception reste encore largement une affaire de femmes. Une aberration quand on sait que la femme est fertile quelques jours par mois alors que l’homme l’est 24h/24 et 7j/7… Même si la pilule masculine n’est pas prévue pour demain, d’autres contraceptifs méconnus à destination des hommes existent au-delà du fameux préservatif. Découverte.

  1. La vasectomie. Cette méthode de stérilisation définitive consiste à couper et bloquer les canaux déférents transportant les spermatozoïdes à partir des testicules. La personne peut toujours éjaculer, le sperme contient toujours autant de liquide séminal mais plus de spermatozoïdes. L’opération dure près de 30 minutes, est pratiquée sous anesthésie locale par un urologue à l’hôpital et est remboursée par la mutuelle. La stérilisation est effective entre trois et six mois plus tard. Entre-temps, il est conseillé d’utiliser un autre moyen de contraception. Il s’agit de l’un des moyens de contraception le plus fiable avec un taux d’efficacité estimé à 99,8 %. La vasectomie peut être réversible – l’opération inverse consistant à reconnecter les canaux déférents – mais elle ne fonctionne que dans 50 % des cas. C’est pour cette raison qu’on propose aux hommes avant l’opération de conserver un échantillon de leur sperme. Par son aspect définitif, la vasectomie est davantage pratiquée chez les hommes de 35-40 ans ayant déjà des enfants. La vasectomie est uniquement accessible aux majeurs. A ce jour, avec le préservatif, ce sont les deux seules méthodes de contraception masculine reconnues officiellement en Belgique.
  2. Le slip « Remonte couilles toulousain ». Le principe de ce sous-vêtement développé par le Docteur Mieusset (CHU de Toulouse) est simple : « grâce à des bandelettes de tissu élastique, le slip positionne les testicules contre le corps de manière à augmenter leur température de quelques degrés. En passant d’une température de fonctionnement normale, soit 34 °C, à plus de 36 °C, la production des spermatozoïdes dégringole en dessous d’un million par millilitre de sperme, atteignant ainsi le seuil contraceptif. En dessous de ce seuil, l’homme n’a que 1 % de chance d’être fécond »[2]. Il faut trois mois pour que la méthode soit efficace. Le Dr Mieusset est le seul actuellement à fournir ce type de slip. Des petits collectifs militants situés aux quatre coins de l’Hexagone proposent cependant de fabriquer son propre slip. La Toile rassemble par ailleurs de nombreux tutoriels pour le fabriquer de manière artisanale à la maison. Le slip RCT possède cependant quelques limites : outre le fait qu’il doit être porté 15 heures par jour, il peut induire des douleurs au niveau des testicules et impacter la qualité du sperme en altérant leur ADN. Si l’homme veut procréer ultérieurement, il doit avoir en tête qu’un « sperme de moins bonne qualité favoriserait le développement de malformations à la naissance, voire ne donnerait pas du tout lieu à une naissance s’il est trop altéré »[3]. Pour ces différentes raisons, la méthode thermique n’est pas à utiliser plus de quatre années consécutives. Le jock-strap est un modèle alternatif et plus simple du slip toulousain où seuls les élastiques du modèle originel ont été conservés.
  3. Le slip chauffant (SpermaPause®). Il s’agit d’un caleçon doté d’une compresse thermique qui réchauffe les testicules à 41°C, rendant les spermatozoïdes inactifs. Il doit être porté environ 4h/jour. Cette méthode semble réversible mais n’a été que peu étudiée. Le dispositif (2 caleçons, 1 compresse chauffante et 1 batterie) coûte 95€.
  4. L’anneau. Ce moyen contraceptif – aussi appelé AndroSwitch® – se présente sous la forme d’un anneau en silicone que l’on insère à la base du pénis pour maintenir les testicules à l’entrée du canal inguinal. « Il faut le glisser jusqu’à la base de la verge en tirant délicatement ce qui entraîne la remontée mécanique des testicules dans le corps »[4]. De même que les autres méthodes thermiques, l’anneau doit être porté 15 heures par jour pour être efficace et freiner le cycle de maturation des spermatozoïdes. Son avantage ? C’est une méthode naturelle, peu coûteuse et réutilisable. De plus, l’élasticité de l’anneau ne le rend pas douloureux en cas d’érection. Cependant, une consultation médicale est nécessaire afin de déterminer si le patient n’est pas concerné par certaines contre-indications (hernie inguinale, cancer du testicule, anomalie de la descente des testicules…). Faute de moyens pour réaliser des tests préalables très coûteux, l’innovation de Maxime Labrit, infirmier libéral en France, n’est pas reconnue comme un dispositif médical à visée contraceptive.

Des demandes encore anecdotiques

Dans les faits, les hommes s’intéressent- ils voire prennent-ils en charge la contraception dans leur couple ? C’est la question que nous avons posée à plusieurs professionnel·le·s de la santé. « Nous n’avons pas encore reçu de demandes au Planning », nous répond de but en blanc Séverine Duchenne, psychologue au Planning Infor Famille de Wavre. « Par contre, lors de nos animations EVRAS[5] dans les établissements scolaires de la ville, nous incluons désormais la contraception masculine. »[6] Sa collègue Pascaline Nuncic, psychologue elle aussi, ajoute : « Lors de ces animations, nous faisons vraiment attention à présenter un maximum de méthodes contraceptives possible. »[7] L’objectif : rester inclusives et égalitaires, mais aussi faire bouger les lignes à leur échelle. « Dans notre Planning, on s’est emparé de la question de la contraception masculine pour lancer une dynamique, sensibiliser à ce thème-là, notamment via l’EVRAS. Mais j’ai l’impression qu’au sein de la société on en est encore aux tout premiers balbutiements par rapport à la contraception masculine. »

Marine Debande est médecin au Planning Familial de Lasne-La Hulpe-Rixensart. Si elle non plus n’a pas encore reçu de demande en termes de contraception masculine au sein du Planning, elle a déjà orienté deux couples reçus dans le cadre de son cabinet privé vers un urologue exerçant à la clinique Saint-Luc de Bouge. « Ce médecin-là est spécialisé en contraception masculine et est à même de les conseiller et les accompagner dans leurs réflexions et démarches », nous explique celle qui a suivi les formations « Planning familial » et « IVG » à l’ULB. « Depuis lors, je sais que ces deux patients ont adopté l’anneau : l’un depuis un an et l’autre depuis six mois », poursuit celle qui a hésité à se spécialiser en gynécologie. « Je parle facilement de sexualité avec mes patients avec qui je parle aussi de questions de genre, de transidentités etc. Je laisse la porte ouverte et s’ils le souhaitent, nous pouvons discuter de contraception », conclut celle qui compte suivre une formation autour des genres et transidentités auprès de Genres Pluriels.

A Bruxelles, une demande semble exister en matière de contraception masculine. « Nous constatons une augmentation des demandes en termes de contraception masculine, principalement la vasectomie, mais aussi en ce qui concerne les méthodes thermiques »[8], nous renseigne Fadi Dalati, urologue au CHU St-Pierre. Avec une moyenne variant entre cinq et dix demandes par mois, le spécialiste constate une « augmentation annuelle d’environ 10 à 15 %. Ces dernières années, nous constatons également une demande de la part de personnes plus jeunes, âgées de 25 à 39 ans. » Au CHU St-Pierre, la vasectomie est pratiquée aussi bien par l’équipe d’urologie que par l’équipe de gynécologie responsable du centre PMA. « Pour l’équipe d’urologie, je peux dire que nous faisons entre cinq et huit vasectomies par mois. »

A Liège, le Planning Familial Infor Famille a même décidé d’ouvrir il y a peu une consultation dédiée à la contraception masculine thermique. Preuve que la situation commence tout doucement à évoluer…

Des rôles de genre bien ancrés

Les quatre modes de contraception que nous avons présentés (la vasectomie, l’anneau, le slip RCT et le slip chauffant) sont encore peu connus du grand public. Pour quelles raisons ? Primo, « les rôles de genre constituent le frein principal à l’utilisation de la contraception testiculaire »[9], explique Laurence Stevelinck, chargée de mission à la Fédération Laïque de Centres de Planning Familial et auteure d’un mémoire en étude de genre à l’ULB « Contraception : où sont les hommes ? ». « La sphère reproductive est liée aux femmes et la contraception fait partie de cette sphère. Les hommes ne s’y intéressent et ne s’y impliquent pas car on les a ‘socialisés’ dans ce sens là. Dès qu’elles ont leurs règles, on parle aux filles d’aller voir un gynécologue, on leur parle de contraception. Ce n’est pas le cas pour les garçons, hormis quelques cours de biologie. »[10]

Deuxième raison pour laquelle la pilule à destination des hommes n’existe toujours pas : les laboratoires pharmaceutiques ne souhaitent pas investir dans des études qui coûtent cher mais qui sont cependant nécessaires pour valider l’efficacité d’un nouveau moyen de contraception. Toutes les études sur le sujet le disent : « cela n’intéresse absolument pas les laboratoires pharmaceutiques, entre autres, parce que c’est un tout petit marché et que ça ne vaut pas la peine d’y investir »[11], déclare Daniel Murillo, gynécologue-andrologue[12] au CHU St-Pierre. La gent masculine redouterait aussi les effets secondaires liés à la pilule (prise de poids, acné, troubles de l’humeur, hausse du risque de maladies cardiovasculaires…), soit les mêmes inconforts que vivent et subissent les femmes depuis des décennies sans que cela offusque qui ce soit. « A contraceptif égal et à effets secondaires identiques pour les hommes et pour les femmes, les études sur les hommes sont arrêtées prématurément […]. Comme s’il était plus important de préserver les hommes des effets secondaires équivalents chez les femmes. »[13] Daniel Murillo conclut : « Les lignes bougent car les femmes en ont marre de gérer ce pan-là et les hommes sont donc poussés à prendre les devants. »[14]

Des professionnel·le·s à former et sensibiliser

Enfin, les professionnel·le·s de la santé aussi ont un travail à mener de leur côté. « En tant que professionnels, il existe un biais de genre au niveau de la contraception »[15], reconnaît Sophie Peloux, coordinatrice du pôle pédagogique d’O’Yes, une ASBL active dans le domaine de l’éducation et de la promotion de la santé sexuelle par et pour les jeunes. « Quand c’est l’adolescence, on aime bien par exemple avoir des groupes de filles à qui l’on va pouvoir parler de contraception. Nos pratiques sont à remettre en question car nous manquons d’inclusion. »[16] Parler de contraception dès l’adolescence aux garçons permettrait d’en faire des hommes plus impliqués sur le sujet une fois adultes. Laurence Stevelinck ajoute : « Comme les représentations des rôles de genre sont intégrées par les professionnels eux-mêmes, il est nécessaire de les sensibiliser, les former et les informer correctement car ce sont eux qui ont les clés pour conseiller de manière adéquate les personnes ayant besoin d’une contraception »[17]. Une formation plus complète des médecins et gynécologues au sujet de la contraception serait également la bienvenue, comme le souligne Daniel Murillo qui est également chef de clinique-adjoint PMA au CHU St-Pierre. « Dans notre cursus, […] nous étudions la contraception féminine – tout comme les médecins généralistes – mais on ne parle pas de l’aspect masculin. La vasectomie reste méconnue parmi mes collègues, lors de séminaires auxquels je participe, mais on y travaille. »[18]

Un frein culturel

Et si un des obstacles pour populariser la contraception masculine se situait effectivement au niveau culturel, dans les mentalités des citoyen·ne·s ? Les chiffres le montrent : en 2017, 10.000 hommes ont subi une vasectomie en Belgique et parmi eux 80 % étaient Flamands. On peut donc supposer que les professionnel ·le·s de la santé dans le Nord du plat pays sont plus formés et sensibilisés à cette forme de stérilisation définitive. Ailleurs dans le monde, la vasectomie fait partie du paysage culturel. Elle est ainsi très répandue dans les pays anglo-saxons ou au Québec où un homme sur trois est vasectomisé. En Nouvelle-Zélande, 19 % des hommes passent par cette opération[19]. Selon le Dr Sylvain Nesa, urologue aux cliniques de l’Europe à Bruxelles, « dans les pays nordiques, c’est le mode de contraception le plus populaire. Plus vous descendez vers le sud, moins la vasectomie a de succès. C’est une question de ressenti. Beaucoup craignent, à tort, que cette opération modifie leur virilité »[20]. Derrière cette crainte se trouve le fantasme de la castration car la vasectomie ne touche pas aux testicules, ni aux hormones ou à la virilité. « Je trouve cela génial de pouvoir discuter en couple de la manière dont les corps fonctionnent, de ses envies… C’est aussi l’occasion de sortir de la sexualité pénétrative pendant la fenêtre de tir où madame risque de tomber enceinte », développe Daniel Murillo[21]. « Il est intéressant dans un couple de pouvoir alterner la gestion / prise de la contraception. Les femmes en couple avec des hommes de 35-40 ans sont prêtes à lâcher la contraception pour que leur partenaire s’en occupe. »

Entre méfiance et confiance

En tant que femme, doit-on d’ailleurs s’inquiéter ou se méfier que son compagnon accepte de prendre à sa charge ce fardeau-là ? Si certaines femmes se réjouiront de ce qu’elles perçoivent comme un progrès, d’autres, comme Dominique Roynet, médecin généraliste et infatigable défenseuse du droit à l’avortement, considèrent que la contraception et la santé sexuelle des femmes est une affaire de femmes. « Willy Peers[22] le disait déjà à l’époque : ‘la contraception met un homme à l’abri d’une grossesse, mais pas une femme’ »23. Pourquoi ? « Parce qu’il n’y a pas qu’un homme sur Terre et que tous ne sont pas vasectomisés. La présence des hommes ou un partage (dans ce qui a trait à la contraception, NDLR) peut être un plus s’il s’agit d’un acte volontaire, libre et consentant »[24]. En outre, l’avantage de la contraception masculine est qu’elle prend place sur le long terme, contrairement à celle de la femme qui, en cas d’oubli de pilule par exemple, fait courir un risque de grossesse. Daniel Murillo nous éclaire. « Si, par exemple, un homme ne porte pas l’anneau pendant 24h, ce n’est pas pour autant que forcément le lendemain il sera fertile et que sa compagne tombera enceinte. »[25] Contraception masculine, oui, si cela se fait dans la confiance, de manière responsable, et si les deux partenaires ne souhaitent pas imposer une grossesse non désirée à l’autre.

Si la contraception hormonale représente une grande victoire de la gent féminine, il faut par ailleurs garder à l’esprit que « nous vivons dans une société sexiste où certains hommes pourraient instrumentaliser cette égalité contraceptive afin de contrôler la contraception de leur partenaire, imposer une grossesse et in fine limiter leur droit à disposer de leur corps »[26], avance Laurence Stevelinck. « De nouveau, nous devons changer les modèles et travailler sur ces rôles de genre qui subordonnent les femmes aux hommes et plombent l’utilisation de la contraception. L’image de l’homme irresponsable est encore bien ancrée dans nos mentalités. Mais l’irresponsabilité des hommes n’est pas une caractéristique biologique. C’est une construction sociale. » Si la contraception n’est pas partagée au sein du couple, Pascaline Nuncic, psychologue chez Infor Famille Brabant wallon, rappelle que « l’homme peut contribuer à son niveau, par exemple, en y participant financièrement »[27]. S’informer sur les moyens contraceptifs existants, se rendre à la pharmacie et participer à la prise de décision dans le couple au niveau de la contraception à adopter sont aussi quelques petites actions pleines de sens qui sont à la portée de tous.

Renforcer l’EVRAS

Et si c’était finalement le rôle de l’école – et en particulier de l’EVRAS – de faire en sorte que les petits bonshommes d’aujourd’hui soient les partenaires impliqués et responsables de la contraception de demain ? L’idée ici n’est évidemment pas de dédouaner la mission des parents à qui il revient entre autres et en premier lieu de parler notamment de sexualité, de consentement et de méthodes contraceptives à leur(s) enfant(s). Mais l’école, en tant que lieu de sociabilisation, d’ouverture et de savoir(s), a également sa part dans la vision égalitaire, féministe et inclusive que les futur·e·s citoyen·ne·s auront des relations amoureuses et de ce qui y a trait.

Preuve que le politique prend conscience de la nécessité et de l’urgence de déployer l’EVRAS en FWB : en décembre dernier, les entités francophones du pays ont décidé de mobiliser un budget annuel de 4,8 millions d’euros afin d’organiser au moins deux animations EVRAS pendant la scolarité de chaque élève (en 6e primaire et en 4e secondaire). Cette mesure prendra effet dès la rentrée 2023 et devra être dispensée par des opérateurs formés et labellisés. Les Centres de Planning Familial de Wallonie et de Bruxelles seront de ce fait les principaux opérateurs pour assurer ces animations.

POUR ALLER PLUS LOIN :

  • www.moncontraceptif.be : un site pour s’informer au sujet de la contraception et connaître les moyens contraceptifs disponibles.
  • Contraceptalk : des mini-vidéos pour expliquer de manière pertinente des sujets liés à la contraception

Sources

[1] Grande enquête Contraception – Institut Solidaris (institut-solidaris.be). Ces chiffres ont été comparés à ceux de 2010, date de la première enquête du genre menée par Solidaris.
[2] « Contraception masculine : l’affaire est dans le slip…chauffant », site de la Dépêche, Benjamin Abba, 12/01/2018.
[3] « Quels sont les moyens de contraception pour l’homme ? », Elisa Doré, site Internet du Figaro, 1er février 2023.
[4] « Quels sont les moyens de contraception pour l’homme ? », Elisa Doré, site Internet du Figaro, 1/02/2023.
[5] Education à la Vie Relationnelle Affective et Sexuelle.
[6] Propos recueillis lors d’une interview réalisée le 8 mai 2023.
[7] Idem.
[8] Propos recueillis dans le cadre d’une interview réalisée le 16 mai 2023.
[9] Propos issus de l’émission radio « La contraception au masculin », Libres ensemble, le 15/02/2020.
[10] Idem.
[11] Propos issus de l’émission radio « La contraception au masculin », Libres ensemble, le 15/02/2020.
[12] Un·e andrologue est un spécialiste de la fertilité masculine.
[13] Propos tirés de la vidéo « INSIDE – La contraception masculine demain », Contraceptalk, 13/04/2020.
[14] Idem.
[15] Idem.
[16] Idem.
[17] Idem.
[18] Propos issus de l’émission radio « La contraception au masculin », Libres ensemble, le 15/02/2020.
[19] Chiffres provenant de l’article « Contraception masculine : en 2014, je faisais une à deux vasectomies par mois. En 2021, autour de 25 », site de 20minutes.fr, Oihana Gabriel, 18/10/2021.
[20]« Les vasectomies sont en hausse en Belgique », site Internet de la RTBF, Natacha Fayt, 14/08/2017.
[21] Propos issus de l’émission radio « La contraception au masculin », Libres ensemble, le 15/02/2020.
[22] Dans les années 50, Willy Peers était un grand défenseur de l’accouchement sans douleur et un militant infatigable en faveur de la légalisation de l’avortement.
[23] Propos recueillis dans le cadre du colloque « Grossesses et maternités : comment garantir l’autonomie de décision des femmes aujourd’hui en Belgique ? » organisé le 9/03/2023 par le CAL.
[24] Propos tirés de la vidéo « Inside – La contraception masculine aujourd’hui », Contraceptalk, 30/03/2020.
[25] Idem.
[26] Propos issus de l’émission radio « La contraception au masculin », Libres ensemble, le 15/02/2020.
[27] Propos recueillis lors d’une interview réalisée le 8/05/2023.

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