Béatrice Touaux
Au mois de mars 2023, lors de la conférence des Nations Unies1 sur l’eau, il fut rappelé que d’ici 2050, 5 milliards de personnes connaitront une situation de stress hydrique au moins un mois par an. La crise de l’eau est clairement un des défis les plus importants et les plus urgents que le monde devra et doit déjà affronter. Les événements comme les sécheresses rendent la vie impossible dans certaines parties du globe2 ou à l’inverse les inondations et leurs images apocalyptiques que nous avons connues en Belgique ou tout récemment en Espagne doivent nous faire réagir et agir au plus vite et au mieux, car le GIEC3 est unanime pour affirmer que ces épisodes tragiques vont se multiplier et s’intensifier. Essayons de décrypter ces phénomènes et comprendre l’usage de l’eau.
Les cycles de l’eau
Nous vivons dans un écosystème où l’eau comme les autres ressources terrestres est en quantité finie. C’est donc la même eau qui depuis des milliards d’années suit ce processus naturel essentiel à la vie sur Terre appelé le grand cycle de l’eau. Il implique la circulation continue de l’eau entre l’atmosphère, la surface terrestre et les océans. Il se compose de deux cycles distincts : le grand cycle naturel et le cycle anthropique.
Le grand cycle de l’eau, aussi appelé cycle hydrologique naturel, est un phénomène permanent qui comprend plusieurs étapes :
- Évaporation et évapotranspiration : sous l’action du soleil, l’eau des océans, des mers, des lacs et des rivières s’évapore. Les plantes contribuent également à ce processus par l’évapotranspiration
- Condensation : la vapeur d’eau se refroidit en altitude et forme des nuages
- Précipitations : l’eau retombe sur Terre sous forme de pluie, de neige ou de grêle
- Ruissellement et infiltration : une partie de l’eau ruisselle à la surface, rejoignant les cours d’eau, tandis qu’une autre s’infiltre dans le sol pour alimenter les nappes phréatiques
- Retour à l’océan : l’eau des rivières et des fleuves finit par rejoindre les mers et les océans, bouclant ainsi le cycle
Mais il y a une anomalie dans ce beau schéma. En effet, ce grand cycle ne décrit pas l’impact de l’homme sur la nature et donc sur l’eau. Comme Charlène Descollonges4 l’explique: « ce grand cycle de l’eau tel que nous l’avons appris à l’école est faux, car il ne représente pas nos interactions, la pollution et le changement climatique. Tant que nous ne changeons pas notre rapport à l’eau, notre façon de représenter ce cycle, on n’arrivera pas à poser un vrai constat sur les problématiques liées à l’eau et proposer des solutions adaptées ».5
Une partie de notre empreinte se retrouve dans le cycle anthropique, ou petit cycle de l’eau douce et correspond à l’utilisation et à la gestion de l’eau par l’homme. Il comprend :
- Le captage : prélèvement de l’eau dans les rivières, les lacs ou les nappes souterraines.
- Le traitement : purification de l’eau pour la rendre potable.
- La distribution : acheminement de l’eau potable vers les consommateurs.
- L’assainissement : collecte et traitement des eaux usées avant leur rejet dans l’environnement.
Concrètement, en Belgique6, 80% de l’eau qui sort de nos robinets est captée dans des nappes souterraines appelées aussi aquifères ou phréatiques, le 1/5ème restant est prélevé en surface c’est-à-dire dans nos barrages, carrières… Avant de sortir de notre robinet, cette eau doit être potabilisée puis stockée dans des réservoirs, des châteaux d’eau… Une fois avoir cuisiné avec cette eau, s’être douché, lavé notre linge, notre vaisselle… ces eaux usées, appelées aussi eaux grises, sont rejetées dans les égouts pour être assainies. Nos eaux de ménage mais également une partie des eaux à usage industriel et agricole passent donc par une station d’épuration où elles subissent toute une série de traitements « musclés » comme des tamisages, des filtrations, l’utilisation de procédés physico-chimiques, biologiques… pour éliminer une partie des bactéries, des polluants comme des résidus de médicaments ou divers produits chimiques que nous utilisons. Cette eau nettoyée mais pas totalement exempte de certains polluants7 est ensuite rejetée dans la nature où elle pourra de nouveau être captée dans les nappes ou les eaux de surface. Les boues des stations résultant des différents traitements de l’eau sont pour leur part répandues sur les sols agricoles, incinérées ou enfouies. Le rôle des opérateurs du cycle anthropique de l’eau est essentiel pour avoir une eau de qualité, et investir pour maintenir ou renouveler les raccordements et les conduites d’eau8 car, bien que stable, nous perdons 5m³ d’eau par jour et par km (pour un réseau belge de plus de 100 000 km).
Quelques chiffres
L’eau douce représente seulement 2,5% de toute l’eau sur Terre et sur ces 2,5%, presque 69% se trouvent dans les glaciers ; 30% dans les nappes phréatiques ; 0,8% dans le permafrost et 0,4% en surface et dans l’atmosphère. Nous n’avons donc qu’un peu plus de 0,7% d’eau douce liquide disponible sur Terre.
En 2020, 2 milliards de personnes étaient privées d’eau potable et 3,6 milliards n’avaient pas accès à des services d’assainissement gérés de façon sûre.
Les Nations Unies estiment que chaque habitant doit avoir accès à 20 litres d’eau minimum par jour pour son utilisation directe. En Belgique, la moyenne d’eau directe est de 100 litres par jour par personne.
Au niveau mondial, nous sommes à 4 800 milliards de m³ de prélèvement d’eau alors que nous prélevons pour les autres matériaux (sable, graviers, charbon, …) tout confondu 100 milliards de tonnes par an, on a donc un facteur 50 entre l’eau et tous les autres matériaux confondus. L’eau est LA ressource prépondérante.
L’utilisation9 de l’eau douce dans le monde augmente chaque année sous l’effet du développement économique et de nos modes de consommation (alimentaires car de plus en plus carnés, vestimentaires…). L’agriculture au niveau mondial utilise 70% du volume d’eau douce, 20% pour l’industrie et 10% pour l’usage domestique.
L’eau bleue et l’eau verte
C’est en 1995 que Malin Falkenmark, hydrologue suédoise, propose la distinction eau bleue / eau verte qui permet de comprendre où se situe la disponibilité en eau douce sur Terre.
L’eau10 « bleue » est l’eau douce qui ruisselle des rivières vers les océans, qui se trouve dans les lacs ou les nappes phréatiques. Elle représente environ 40% de la masse totale des précipitations. Dans le cycle anthropique, l’eau bleue est utilisée pour notre consommation domestique, par l’industrie et par l’agriculture. Dans le cas de l’irrigation des cultures, l’eau bleue est transformée en eau verte. Aujourd’hui, nous avons franchi les limites planétaires de l’eau bleue, c’est-à-dire que nos besoins en eau sont plus importants que la capacité de nos hydrosystèmes à nous donner de l’eau. A certains endroits, nous avons complètement asséché nos nappes ou nos rivières. Selon Emma Haziza11, les satellites de la NASA ont permis de visualiser en profondeur 19 points où l’eau a été complètement pillée. Ces points se trouvent – entre autres – en Chine, dans la Péninsule Arabique, en Inde, dans les grandes plaines de l’Amérique du Nord, zones où on produit massivement du blé, du coton ou du riz (cultures particulièrement « hydrovores »), sur des nappes phréatiques qui sont en voie d’épuisement. Les terrains s’affaissent, la pluie ne s’infiltre pas, il faudra des centaines d’années pour remplir les nappes.
L’eau « verte », verte pour faire allusion aux plantes, a un rôle crucial. C’est l’eau de pluie qui s’infiltre dans le sol et que les plantes utilisent pour se développer. Elle est donc stockée dans le sol et la biomasse, elle est consommée sur place par les plantes et les arbres, qui l’évapotranspirent dans l’atmosphère ; c’est de loin la plus grande quantité, puisqu’elle représente 60% de la masse des précipitations. L’eau verte est mesurée avec l’humidité des sols. Charlène Descollonges12 indique que « les chercheurs ont mesuré à l’échelle planétaire la variation de l’humidité des sols. Ils se sont rendus compte que partout l’amplitude de variation est beaucoup plus importante ce qui fait que nous avons actuellement des sols soit trop secs, soit trop humides et parfois dans la même région on peut passer d’un extrême à un autre. On a franchi la barrière des 10%, nous sommes à 18% de la surface des terres non gelées qui présentent cette anomalie de l’humidité des sols. En hydrologie, on appelle la zone critique, les deux premiers mètres du sol où tout se passe : l’infiltration, le ruissellement et l’évaporation. Ces 3 processus régissent presque tout sur l’hydrologie de surface. Cette zone est altérée à l’échelle planétaire, par l’agriculture13, la déforestation et l’artificialisation des sols ». L’humidité fluctuait naturellement au fil des saisons mais depuis l’utilisation des énergies fossiles à grande échelle pour bâtir notre système économique, on a complètement modifié l’humidité des sols à tel point que nous en avons aussi dépassé la limite planétaire14.
Changement climatique et eau : un cercle vicieux
Perturber15 le climat perturbe le cycle de l’eau. En effet, + 1°C de réchauffement climatique correspond à 7% de vapeur d’eau supplémentaire dans l’atmosphère. La vapeur d’eau bien qu’en petite quantité dans l’atmosphère est un gaz à effet de serre16 et les 7% supplémentaires engendrent une boucle de rétroaction (augmentation de la vapeur d’eau dans l’atmosphère, augmentation de l’effet de serre, réchauffement de la surface terrestre, augmentation de la chaleur à la surface de la Terre, évaporation de l’eau et ainsi de suite), ce qui fait que le climat s’emballe encore plus. L’atmosphère a une taille limitée et l’eau ne peut y rester plus de 10 jours, elle va donc devoir précipiter. Avec les courants atmosphériques et cet excédent de vapeur d’eau dans l’atmosphère, cela va impliquer un changement dans le régime de précipitations avec des zones arides et des zones plus humides. On va observer des événements extrêmes plus intenses, plus fréquents et plus longs dans la durée, c’est à dire de fortes inondations ou de fortes sécheresses. Tout est lié mais difficile à percevoir et à comprendre par le citoyen lambda, pourtant cette compréhension est essentielle pour mettre en place les réponses adéquates et ralentir ce cercle vicieux.
En France, entre les années 1990-2000 et 2000-2018, il y a eu un moment de bascule où la quantité de ressource en eau renouvelable a diminué de 14% en raison d’une baisse des précipitations et unehausse de l’évaporation. A l’échelle de l’année et d’un territoire, on considère que ce qui s’évapore est perdu et ne reviendra pas sur le territoire.
Selon Climat.be, la Belgique est après les Pays-Bas, le pays d’Europe le plus exposé aux inondations, en partie dû à notre aménagement du territoire. Les inondations ne veulent pas dire plus d’eau dans le sol, au contraire l’eau ruisselle à toute vitesse pour repartir dans les rivières. Les sols urbanisés ne permettent pas à l’eau de s’infiltrer. De plus, parallèlement, nous utilisons chaque année17 80% de nos réserves d’eau renouvelables, augmentant notre vulnérabilité à la sécheresse.
Eau virtuelle
Voilà un concept intéressant peu connu et mal compris du grand public. Il a pourtant un rôle essentiel dans la compréhension de notre empreinte sur l’eau.
Si l’on estime qu’en Belgique une personne utilise 100L d’eau directe en moyenne pour sa consommation journalière, en réalité elle utilise plus de 7 000 litres d’eau18 par jour. Comment est-ce possible ? Tout simplement, parce que nous ne voyons pas toute l’eau qui est nécessaire pour la fabrication des aliments et de tous les autres produits.
Prenons l’exemple d’un T-shirt19 :
- La matière première : le coton. Pour cultiver un kilo de coton il faut 10 000 litres d’eau douce. Les pays producteurs sont la Chine, l’Inde, le Pakistan et les USA. Pays où la pluie n’est pas suffisante, il faut donc puiser dans les stocks d’eau pour irriguer les cultures.
- La confection, étape très consommatrice car l’eau est nécessaire dans l’usine tout au long du processus industriel, comme pour blanchir la matière première et teindre les vêtements avec la teinture et les produits chimiques qui servent à la fixation de la couleur. On compte entre 100 à 150 litres d’eau par kilo de textile. N’oublions pas que la teinture est un poste important de pollution sur place mais aussi chez nous, car les produits chimiques seront relargués à chaque lavage.
- Le délavage qui nécessite encore beaucoup d’eau.
En résumé, pour un T-shirt de 150 grammes, nous avons consommé 2 700 litres d’eau.
La production d’une micropuce électronique consomme 32 litres d’eau et 20 000 litres d’eau pour la fabrication d’un seul ordinateur… La consommation d’eau d’une usine de semi-conducteurs équivaut à celle d’une ville de 40 à 50 000 habitants comme Braine l’Alleud.
L’extraction20 des matières premières des sous-sols est également une activité très consommatrice puisque qu’il faut des milliers de m³ d’eau pour charruer toutes les terres, sans parler évidemment de la pollution engendrée et l’eau polluée remise en circulation et consommée par les populations locales.
Il en est de même pour la nourriture que nous produisons et principalement la viande. Il ne s’agit pas de lubies de bobo quand on explique qu’un kilo de boeuf nécessite environ 500 litres d’eau (les chiffres diffèrent énormément dans la littérature, nous avons choisi le minimum). Cette eau est nécessaire pour arroser les cultures de céréales qui vont être fournies à l’animal en plus de l’herbe des champs qui ne nécessite pas d’irrigation. Proportionnellement, pour produire un poulet de 2 kilos, il faut 800 litres d’eau car il faut – entre autres – 6 kilos de maïs et 2 kilos de soja, cultures très irriguées.
Pour un kilo de pommes de terre, comptez 287 litres d’eau. Pour un kilo d’avocats, il faut 440 litres d’eau souvent cultivés dans des endroits secs, l’empreinte est donc importante.
Un litre d’eau n’est pas équivalent partout. Sur les territoires où il y a des problèmes de sécheresse, c’est problématique.
Solutions
Des solutions existent pour restaurer le cycle naturel de l’eau et particulièrement les zones humides donc l’eau verte, comme :
Limiter l’urbanisation, et même désimperméabiliser les sols, végétaliser et favoriser les revêtements poreux pour éviter le ruissellement et améliorer l’infiltration. Dans les villes, il faut créer des îlots de fraicheur21.
Mettre en place une agriculture responsable22, qui ne lessive pas et ne détruit pas les sols, qui respecte le territoire.
Arrêter la déforestation, préserver les forêts et replanter. Depuis la déforestation massive de ces dernières années, nous nous rendons compte du rôle primordial des arbres dans la circulation de l’eau. De la canopée où la pluie est amortie pour arriver lentement dans le sol et les nappes phréatiques, les arbres régulent ce cycle et dépolluent même l’eau et les sols. Ils évapotranspirent et les gouttes d’eau vont se condenser autour des poussières, spores, pollen… qui s’envolent au-dessus des forêts, et ainsi former des nuages. Nous retrouvons de véritables rivières atmosphériques qui ont un rôle essentiel dans le cycle de l’eau.
Développer l’hydrologie régénérative, science de la régénération des cycles de l’eau douce par l’aménagement du territoire. Elle travaille sur le relief pour permettre à l’eau de pluie de faire le plus long chemin possible. Ainsi, elle est ralentie, répartie, s’infiltre et est stockée. On recrée des espaces de biodiversité pour régénérer le cycle du carbone et le cycle de l’eau.
Pour l’eau bleue, nous devons prendre conscience de l’eau virtuelle en limitant notre consommation de biens. En un mot : sobriété.
Nombreux sont ceux qui pensent au dessalement. Il y a effectivement plus de 22 000 installations de dessalement dans le monde. Malheureusement, comme l’explique Reporterre dans son article « Dessaler l’eau de mer : fausse solution, vraie catastrophe écologique », il faut beaucoup d’énergie fossile pour dessaler. En effet, deux procédés très énergivores sont utilisés : l’évaporation ou l’osmose inverse. L’Arabie Saoudite, le Koweït ou les Emirats arabes unis émettent plus de 120 millions de tonnes de CO2 augmentant leur empreinte carbone et amplifiant de fait le dérèglement climatique.
Evidemment, en plus de l’énergie, le dessalement23 produit une saumure très salée, contenant des produits chimiques et des métaux lourds de prétraitement, qui a un impact négatif sur l’environnement puisque cette saumure est rejetée en mer, dans les eaux de surface, égouts…
En résumé
Vous l’aurez compris prendre une douche au lieu d’un bain est une chose, mais faire attention à notre consommation alimentaire (plus végétale et de saison, des produits cultivés dans des zones pas trop sèches…), à nos achats tels les vêtements (que dire de la fast fashion !) ou au matériel électronique (GSM, ordinateur…) est encore plus essentiel.
Nous avons clairement un impact sur l’empreinte aquatique, que ce soit en interne, c’est-à-dire avec de l’eau puisée dans les ressources de notre pays ou l’eau puisée à l’étranger via la provenance des articles ou de l’alimentation que nous achetons. Malheureusement, souvent les pays sollicités sont aussi en zone de stress hydrique. N’oublions pas que l’eau est un bien commun ici et ailleurs, que nos comportements d’achat ont des implications sur l’eau dans des pays où la population est bien moins lotie que nous à ce sujet. Il faut prendre le problème à bras-le-corps, avec des politiques courageuses et ambitieuses. L’eau est essentielle à toute forme de vie sur Terre. L’inaction va nous conduire à plus de catastrophes naturelles comme des sécheresses, des inondations et leurs corollaires de problèmes. Si rien n’est fait nous courons au-devant de grandes difficultés qui risquent de mettre à mal nos démocraties. Pour ne donner que deux exemples : les flux migratoires et des conflits d’usage de l’eau engendrant des tensions voire des guerres liées au manque d’eau.
Sources :
1 « La Conférence de l’ONU sur l’eau s’engage à donner vie à un programme d’action pour l’eau au service de notre avenir commun », couverture des réunions & communiqués de presse, 24 mars 2023.
2 « Sécheresse en Afrique australe : près de 300 000 enfants menacés par la malnutrition aigüe sévère », communiqué UNICEF, 25 juillet 2024.
3 « Ce qu’il faut retenir du 6ème rapport d’évaluation du GIEC » (Groupe d’experts intergouvernemental sur l’évolution du climat) sur ecologie.gouv.fr
4 Ingénieure hydrologue et territoriale, conférencière et auteure de « L’eau, Fake or not ? Repenser notre gestion de l’eau sans fake news : économies et partage de l’eau, amélioration de la qualité de l’eau, restauration du cycle hydrologique ».
5 « Le cycle de l’eau est faux » par Charlène Descollonges, Limit, vidéo mai 2024.
6 « Gestion de l’eau » Eventchange.be, 2024.
7 « Les PFAS : un problème de santé publique », Calepin 114, juin 2024.
8 « Statistiques de l’eau potable et de l’assainissement des eaux usées en Wallonie » rapport 2018, AquaWal.
9 « Rapport mondial des Nations Unies sur la mise en valeur des ressources en eau 2024 : l’eau pour la prospérité et la paix » UN Water et UNESCO, mars 2024.
10 « L’eau verte et l’eau bleue » Modèle de bilan hydrique forestier, Unité mixte de recherches INRAE-AgroParisTech-Université de Lorraine.
11 « Comment va-t-on faire dans 15 ans pour alimenter le monde ? » Emma Haziza, France Inter 2023.
12 « Le cycle de l’eau est faux » par Charlène Descollonges, Limit, vidéo mai 2024.
13 « Les impacts environnementaux de l’agriculture industrielle », Calepin 107, septembre 2022.
14 « Où en sommes-nous des limites planétaires ? », notre-environnement, portail de la République française.
15 « Le cycle de l’eau est faux » par Charlène Descollonges, Limit, vidéo mai 2024.
16 Un gaz à effet de serre est un gaz présent dans l’atmosphère qui retient une partie de la chaleur des rayons solaires. L’augmentation de la concentration de ces gaz engendre une hausse de la température. Certains gaz sont naturels comme la vapeur d’eau, d’autres issues des activités humaines comme le CO2, le méthane, les gaz fluorés…
17 « Belgique : prêt à regarder l’eau autrement ? » Commission européenne.
18 « L’eau virtuelle et l’empreinte aquatique » Les cahiers du développement durable.
19 « Pourquoi faut-il de l’eau pour fabriquer un vêtement ? » engagements Décathlon.
20 « La face cachée des métaux », Calepin 105, mars 2022.
21 Endroits où la végétation et les matériaux utilisés abaissent la température ambiante (arbres, murs végétalisés, points d’eau…), accessibles au public en cas de fortes chaleurs.
22 « Agroécologie, un futur pour notre agriculture et notre planète », Calepin 108, décembre 2022.
23 « Méthodes d’élimination et technologies de traitement de la saumure de dessalement – Un aperçu » par A. Panagopoulos, K-J Haralambous et M. Loizidou, novembre 2019, Elsevier.